Dina a arrêté de manger et quasiment de parler, pour disparaître, s'effacer. A cause de son opération chirurgicale, de sa première déception sentimentale, de l'attitude de sa mère. Elle est hospitalisée et une psychothérapeute l'aide à se sortir de l'anorexie.
"Alzheimer : un nom qui sonne comme un camp de la mort" dit Eva dans ce roman. La jeune fille, sa mère, son frère vont vivre, chacun à sa manière, la maladie du père, Edouard, 52 ans. Le désespoir, l'espoir. Le quotidien d'une famille qui se ferme sur elle-même.